Le site imprimé : premier volume en français
Lisez Low-tech Magazine sans avoir besoin d’un ordinateur, d’internet ou d’une alimentation électrique – ou quand le site internet solaire est hors service à cause d’une mauvaise météo.
Des possibilités intéressantes se présentent lors de la combinaison de l’ancienne technologie avec de nouvelles connaissances et de nouveaux matériaux, ou lors de l’application d’anciens concepts et de connaissances traditionnelles à la technologie moderne.
Le progrès technologique est devenu l’idole de notre société, mais il crée plus de problèmes qu’il en résout.
Il y a beaucoup de potentiel dans les connaissances et technologies anciennes et souvent oubliées lorsqu’il s’agit de concevoir une société durable.
Lisez Low-tech Magazine sans avoir besoin d’un ordinateur, d’internet ou d’une alimentation électrique – ou quand le site internet solaire est hors service à cause d’une mauvaise météo.
Autour du 17è siècle, les Hollandais commencèrent à renforcer leurs digues et leurs ports avec des tapis robustes de la taille de terrains de footbal—tissés à la main à partir de milliers de brindilles poussant sur des plantations de taillis à proximité. Ces « matelas-fascines » étaient lestés de roches et coulés au fond des canaux, des estuaires et des rivières.
Une figure méconnue de l’énergie solaire, George Cove, pourrait avoir réussi à construire un panneau photovoltaïque très efficace, une quarantaine d’années avant que les ingénieurs des Bell Labs n’inventent les cellules photovoltaïques à base de silicium.
Si l’électricité utilisée pour alimenter une ferme verticale est produite par des panneaux solaires, la production d’énergie occupe au moins autant d’espace au sol que l’agriculture verticale ne permet d’en gagner.
Depuis le néolithique jusqu’au début du vingtième siècle, les taillis, les arbres émondés, ainsi que les haies, fournissaient un apport durable en énergie, matériaux et nourriture.
La recherche moderne, qui combine les savoirs anciens et les nouvelles technologies, montre que les villes solaires passives représentent une option réaliste jusqu’à des densités de population étonnamment élevées.
Les Russes ont notamment réussi à cultiver des agrumes là où les températures peuvent descendre jusqu’à -30°C, et cela sans utiliser de verre ni de combustibles fossiles.
Les poêles à bois équipés de générateurs thermoélectriques peuvent produire une électricité plus durable, plus fiable et moins coûteuse que l’énergie des panneaux solaires.
Nous présentons les données d’énergie et de durée de disponibilité de notre site Web, les calculs d’énergie grise de notre installation, l’équilibre optimal entre soutenabilité et disponibilité du serveur, avant de décrire les améliorations possibles.
Moduler la demande en fonction de la disponibilité de l’énergie faciliterait la transition vers les énergies renouvelables, en rendant ces modèles énergétiques bien plus réalistes qu’ils ne le sont aujourd’hui.
Adapter la production d’énergie pour satisfaire la demande électrique sur le réseau à chaque instant rend la transition énergétique à la fois complexe, coûteuse, lente et peu durable.
Des panneaux solaires sur des rebords de fenêtres ou sur des balcons peuvent produire bien plus d’énergie que vous ne pourriez l’imaginer.
Du 16e au 20e siècle, on pouvait trouver dans les villes d’Angleterre ou des Pays-Bas des fermiers qui parvenaient à cultiver des fruits et légumes méditerranéens en n’utilisant que des énergies renouvelables.
Une serre solaire à énergie passive est conçue de manière à retenir autant de chaleur que possible, contrairement à son homologue de verre.