Le progrès technologique est devenu l’idole de notre société, mais il crée plus de problèmes qu’il en résout.
Se concentrer sur l’efficacité energétique, c’est rendre indiscutables nos modes de vie actuels.
Adapter la production d’énergie pour satisfaire la demande électrique sur le réseau à chaque instant rend la transition énergétique à la fois complexe, coûteuse, lente et peu durable.
La société de l’information promet de dématérialiser la société et de l’adapter au développement durable, mais la bureautique moderne et le travail intellectuel sont aujourd’hui des activités qui consomment énormément d’énergie, ainsi que d’autres ressources, à un rythme effréné.
“Une autre manière de voyager: plus près de chez soi, les pieds sur terre”
La consommation d’énergie d’Internet n’est limitée que par l’énergie disponible, à moins que l’on impose nous-mêmes des limites.
Le stockage de l’énergie est souvent ignoré dans la quête du photovoltaïque durable par les scientifiques.
La plupart des panneaux solaires sont désormais fabriqués en Chine, où le réseau électrique est deux fois plus intense en carbone et environ 50 % moins producteurs d’énergie qu’en Europe.
Malgré des progrès technologiques depuis la révolution industrielle, la cuisson reste un processus incroyablement inefficace.
Le train à grande vitesse est en train de détruire l’alternative la plus précieuse à l’avion, à savoir le réseau ferroviaire européen classique en service depuis des décennies.
Il est intéressant de replacer l’approche actuelle des trains à grande vitesse en Europe dans le contexte de l’histoire ferroviaire.
Les vélos générateurs d’électricité sont peu performants à cause de la façon dont ils sont fabriqués aujourd’hui.
Les estimations sur le rendement énergétique des avions modernes ne tiennent pas compte des données de l’ère des avions à pistons.