Nous lançons une collection de livres thématiques en français, dont quatre volumes sont déja disponibles.
La société de consommation produit suffisamment de déchets plastiques pour alimenter au moins 10 % du trafic routier motorisé. Le concepteur néerlandais Gijs Schalkx a saisi l’occasion et conduit sa voiture sur les déchets qu’il collecte.
Nous avons lancé deux autres publications contenant les articles du “Low-tech Magazine”, couvrant la période de 2007 à 2018.
A peu près un quart des éoliennes existantes suffiraient à alimenter autant de vélomobiles électriques qu’il y a d’humains.
Les anciens véhicules présents sur ces photos ne transportent pas de meubles ou de charges trop importantes. On peut voir leur réservoir de carburant sur le toit. Il s’agit d’un sac rempli de gaz non comprimé.
Avec un vélomobile, une puissance de 79 watts suffit pour atteindre 30 km/h, alors qu’un vélo classique nécessite 271 watts.
Nous n’avons pas besoin de meilleures batteries, mais de meilleures voitures.
Il y a une centaine d’années, les voitures électriques étaient déjà répandues en Europe et aux États-Unis.
Au cours de la Seconde Guerre Mondiale, la quasi-totalité des véhicules motorisés en Europe continentale furent convertis pour pouvoir être alimentés au bois.
Les temps de charge rapide suscitent beaucoup d’enthousiasme, mais on oublie que cela peut engendrer de nombreuses demandes.
Malgré toute la haute technologie dont sont désormais bardées les voitures, la 2CV de 1949 demeure plus économe en énergie que la plus petite Citroën actuelle