Les systèmes à air comprimé du passé semblent détenir la solution pour concevoir un système de stockage d’énergie low-tech, bon marché, robuste, durable et relativement économe en énergie.
Moduler la demande en fonction de la disponibilité de l’énergie faciliterait la transition vers les énergies renouvelables, en rendant ces modèles énergétiques bien plus réalistes qu’ils ne le sont aujourd’hui.
Adapter la production d’énergie pour satisfaire la demande électrique sur le réseau à chaque instant rend la transition énergétique à la fois complexe, coûteuse, lente et peu durable.
Des panneaux solaires sur des rebords de fenêtres ou sur des balcons peuvent produire bien plus d’énergie que vous ne pourriez l’imaginer.
Le couplage direct entre les sources d’alimentation en courant continu et les charges en courant continu rendrait l’énergie solaire plus économique et plus viable.
Le stockage de l’énergie est souvent ignoré dans la quête du photovoltaïque durable par les scientifiques.
Les installations à énergie hydraulique utilisées de nos jours ont un rendement énergétique plus faible que celles des siècles précédents.
A peu près un quart des éoliennes existantes suffiraient à alimenter autant de vélomobiles électriques qu’il y a d’humains.
Les vélos générateurs d’électricité sont peu performants à cause de la façon dont ils sont fabriqués aujourd’hui.
À l’époque, on trouvait presque autant de moulins-bateaux, de moulins sous les ponts et de moulins à roue pendante que de moulins à vent.
Nous n’avons pas besoin de meilleures batteries, mais de meilleures voitures.
Faut-il ressusciter les moulins à vent industriels et convertir à nouveau l’énergie cinétique en énergie mécanique ?